Selon le directeur commercial de Thai Airways, Korakot Chatasingha, les destinations les plus prisées des Thaïlandais pour les prochaines vacances du Nouvel An sont le Japon et Singapour.

Actuellement, la compagnie aérienne exploite cinq liaisons vers le Japon:

  • Bangkok -Tokyo (Aéroport de Narita) deux vols
  • Bangkok – Tokyo (Aéroport de Haneda) un vol
  • Bangkok -Fukuoka un vol
  • Bangkok – Nagoya un vol
  • Bangkok – Osaka un vol

Thai Airways prévoit également de lancer une liaison Bangkok – Sapporo en décembre en réponse à la demande des touristes.

Après que le gouvernement japonais a assoupli les mesures de prévention du Covid et permis à davantage de touristes d’entrer dans le pays, les reservations vers le Japon ont constamment augmenté, en particulier pour les vols en hiver qui sont les plus populaires auprès des Thaïlandais.

Le gouvernement japonais avait fixé une limite pour le nombre de personnes entrant dans le pays d’août à septembre. Dans la première phase, seulement 190 sièges par jour étaient disponibles, puis le quota a été augmenté à 600 sièges par jour.

Après la suppression des quotas au mois d’octobre, le tourisme a repris progressivement et la compagnie aérienne thaïlandaise prévoit d’augmenter le nombre de vols vers le Japon.

Quatre vols par jour pour Singapour

Singapour est une autre destination populaire auprès de Thaïlandais car il s’agit d’un vol court : le facteur cabine pour la route de Singapour est d’environ 80%. Thai Airways a augmenté le nombre de vols quotidiens vers Singapour de deux vols par jour à trois, et augmentera sa fréquence quotidienne à quatre vols en décembre.

You May Also Like

Immersion au cœur de la street food thaïlandaise : l’Indy Market Pinklao

Niché au pied de la station aérienne Bang Yi Khan du métro de Bangkok (MRT, ligne bleue) dans le district de Bang Phlat, ce marché nocturne est un véritable joyau caché au cœur de la vibrante capitale thaïlandaise.

Tourisme et éthique : un défi pour les communautés du nord de la Thaïlande

Présenté comme un moteur du développement, le tourisme amène pourtant son lot d’effets négatifs. Certes, il génère des revenus et peut favoriser la transmission des traditions, mais à quel prix ?