Avant il fallait souvent se résigner au Starbuck, mais depuis quelques années les cafés poussent comme des champignons à Bangkok : une tendance prometteuse car les Thaïlandais sont des grands amateurs de café.
En Décembre 2013, Ink & Lion Café a ouvert ses portes dans le quartier de Ekamai, dans le soi 2, pas très loin de Sukhumvit road et du BTS Ekamai.
Tout le quartier de Ekamai a au cours des dernières années subi une transformation assez radicale : le soi Ekamai ressemble de plus en plus au soi Thonglor voisin, avec de nouveaux magasins de vêtements vintage, des boutiques de meubles et de mode branchée, et surtout beaucoup de cafés… et depuis l’année dernière une galerie d’art, la Toot Yung Gallery .
Ils sont tous deux originaires de la région de Bangkok, Pui de Sukhumvit, et Kiak de Thon Buri. Pui a étudié l’architecture intérieure et a obtenu un diplôme de maîtrise à Bangkok, Kiak a étudié le design et le graphisme à Bangkok et a continué à étudier à San Francisco où il a passé un diplôme de maîtrise en animation.
Leur intérêt pour la culture du café à commencé à prendre forme à San Francisco, et après quelques années de travail en Californie, en 2012, ils ont décidé de rentrer à Bangkok.
Plutôt que de chercher du travail dans leur domaines respectifs, ils ont préféré créer leur propre entreprise autour de leur passion commune pour le café.
Au Ink & Lion Café, vous pourrez commander un excellent expresso, cappuccino, café filtre, ou presse française, AeroPress et même une fabuleuse sélection de thés.
Mais d’où vient le nom de Ink and Lion ? Ils aiment l’écriture et le dessin, l’encre est noire et liquide : une sorte de métaphore pour le café. Juste “encre” était trop court …. alors ils ont ajouté le Lion,qui figure sur la machine à expresso La Marzocco, fabriquée à la main à Florence.
Adresse : 1/6 Ekamai 2, Sukhumvit 63, North Prakanong, Wattana, Bangkok 10110, Thaïlande
Téléphone :+66 91 559 0994
Heures d’ouverture:
Jours de la semaine 09.00-18.00
Week end 10.00-19.00
Fermé le mercredi.
Article original (en anglais) publié sur camilladavisson.com
