Les Thaïlandais qui autorisent que leurs noms soient utilisés par des étrangers en tant que « prête nom » pour ouvrir des entreprises réservées aux ressortissants thaïlandais encourent des peines de prison de trois ans et/ou une amende comprise entre 100 000 bahts et un million de bahts.Très protectionniste, la Thaïlande restreint l’accès à certaines activités aux étrangers par différentes lois et régulations réunies sous la bannière du Foreign Business Act.Thosapone Dansuputra, directeur général du département, a rappelé hier au public les sanctions en cas de violation des restrictions imposées aux entreprises dirigées par des étrangers en Thaïlande.Le rappel fait suite à une plainte déposée par un vendeur de nourriture le long de la route, connu sous le nom de Chinatown de Bangkok (Yaowarat), qui a allégué que des ressortissants chinois titulaires de visas touristiques utilisaient des prête-noms thaïlandais pour gérer des magasins et des restaurants dans le quartier, nuisant aux…
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